Chaque année ASF perd en moyenne 100 postes (ASF a perdu 1300 CDI en 10 ans). Cette année, le seuil de 3000 salariés sera hélas probablement dépassé. La logique financière de rentabilité à outrance conduit quotidiennement les salariés à vivre des situations de tension, voire à risques. La préparation de la fin de concession – et son cortège de réorganisations, pardon de « synergies » – ne va-t-elle pas encore accentuer cette tendance ?
La CFDT fera de la négociation GEPP (Gestion des Emplois et Parcours Professionnels) qui va s’ouvrir un enjeu majeur de ce début de mandat avec des exigences concrètes.